A propos

Le blog "Je me disais" est né il y a bien longtemps - le 5 novembre 2010 pour être exacte - et c'est désormais sa quatrième forme.

Comme je le dis dans le premier billet, l'idée de base était que je lisais beaucoup de choses sur les blogs que je pouvais découvrir en me baladant sur le web (j'adore me balader sur le net) et que certains étaient vraiment fades. Et comme j'aime les mots, ça me désolait de les subir... Et puis un jour, je suis tombée sur un blog pas comme les autres, qui m'a vraiment marquée parce que c'était comme si mes mots étaient couchés sur mon écran. Sauf que c'était ceux de la chanteuse Rose. Alors j'ai compris qu'un blog ça pouvait être magique... Et j'ai créé le mien.

Vous trouverez ici des billets au sujet de tout, de rien, mais toujours de ce qui me tient à coeur... Vous trouverez aussi tous les textes que j'ai écrits pour d'autres supports que mon blog personnel, notamment ceux de Lilli H. contre l'endométriose ou des billets du HuffPost pour lequel j'ai la chance d'être contributrice. J'espère que mes mots vous plairont, qu'ils provoqueront en vous ce que d'autres provoquent en moi, et qu'ainsi je perpétuerai la magie...

Sur cette nouvelle version qui se construit petit à petit, j'ai eu envie d'ajouter une galerie de photos. Des miennes parce que j'adore photographier le beau ou l'insolite de la vie avec mon portable, mais aussi des autres parce que je connais beaucoup de gens de talents dont l'oeil pro me laisse pantoise d'admiration. Enfin, j'y ai réservé un espace pour les blogs et sites qui m'inspirent, me bouleversent, me font réfléchir ou rire, pour que vous puissiez les découvrir... Bonne lecture, bonne et belles découvertes...

NB : Sauf mention spéciale, tous les éléments (écrits, images et photos) de ce blog sont la propriété de Marie-Anne Mormina et ne peuvent être utilisés sans son accord.

Qui suis-je ?

Je m'appelle Marie-Anne Mormina, je n'ai plus 20 ans, et je ne fais du 38 qu'en pointure de chaussures - et encore, pas tout le temps. Je suis une gourmande : de bouffe, de vie et de rires, et un chouilla perfectionniste et têtue.

Pour autant, ça ne m'empêche pas d'être une femme engagée et souvent révoltée : par l'état de la Terre, l'injustice du monde, la barbarie et la folie des hommes entre eux et envers les animaux, le sort des femmes et des enfants...

Je suis d'ailleurs la fondatrice du mouvement Lilli H. contre l'endométriose qui lutte pour la connaissance et la reconnaissance de l'endométriose en France, qui connait un joli succès et qui a lui aussi débuté par des mots, sur un autre blog... C'est un travail passionnant et très prenant, qui m'empêche d'écrire autant que je le voudrais, je l'avoue. Mais il m'a aussi offert le plus beau des cadeaux puisque ça m'a permis d'être repérée par une éditrice de chez Fayard, donnant naissance à mon (premier ?) livre paru en mars 2015 et intitulé "La Maladie taboue - Endométriose : plus d'une femme sur dix touchées". Evidemment, je rêve désormais au prochain...

Mon histoire

Je suis née sous le soleil du Maroc, et mes parents sont rentrés en France quand j'avais 2 ans. Depuis, je navigue en région Rhône-Alpes en rêvant de retourner vivre au bord de l'océan. Un jour qui sait...

Sans vouloir tomber dans les lieux communs, j'écris depuis toujours. Je veux dire à partir du moment où j'ai commencé à savoir écrire, techniquement parlant, j'ai commencé à en jouer. De la maternelle où j'ai écrit à l'envers le jour où l'inspecteur d'académie venait voir si j'étais apte à sauter une classe, en passant par le collège où je lisais ma première histoire à ma meilleure amie pendant nos pyjama-party à deux, le lycée où mon "Capitaine, Ô Capitaine" me faisait soudain prendre conscience que j'avais un "truc", les petits-mots que je laissais à mes proches, ou les textes courts que j'écrivais en espérant un jour les mettre en musique, les mots m'ont toujours fascinée.

Comme la musique, ils ont le pouvoir incroyable d'atteindre directement l'âme, de faire rire ou pleurer, de révolter et d'apaiser. Et lorsque les deux sont assemblés, alors le pouvoir se décuple et les foules se déchaînent. C'est aussi pour ça que la musique fait complètement partie de ma vie. D'ailleurs, j'ai souvent des paroles des chansons que j'aime qui apparaissent dans mon cerveau selon les situations que je vis. Et là, celles qui me viennent et avec lesquelles je vais conclure cette présentation parce qu'elles sont parfaites, ce sont celles d'un certain Jean-Jacques, aux mots et au son duquel j'ai grandi :

"Tu parles, parles, c'est facile, même sans y penser,
Les mots, les mots sont immobiles, triés, rangés, classés,
Laisse aller, laisse-les jouer,
Se cogner, te séduire,
"Sensualiser", te bouger,
Quand ça veut plus rien dire.
Swinguer les mots, les mots, sans ça,
On va les rétrécir.
Swinguer les mots, ne surtout pas
Toujours les réfléchir.

Les mots, l'émo, l'émotion vient,
Les mots font l'émotion,
Coûte que coûte, écoutes-les bien
Rythmer nos déraisons..."


"A quoi tu sers ?" - Jean-Jacques Goldman - 1987.

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