Cette semaine, sur mon compte Instagram, j'ai partagé en story ce que j'étais en train de cuisiner. Il tombait des tonnes de neige, j'avais froid, mon mari et mon fils étaient coincés à Lyon... Je me suis dit que pendant que mon père courait à leur rescousse, j'allais leur préparer un plat bien chaud et qui tient au corps.
Comme dans nos placards nous avons toujours des boîtes de tomates et des pâtes (sans gluten pour moi, avec gluten pour eux), je n'ai pas mis longtemps à savoir ce que j'allais mijoter : la soupe de Nicolas s'est imposée ! C'est une recette de famille, baptisée ainsi en l'honneur d'un grand oncle qui l'aimait particulièrement, à mi-chemin entre le risotto et un potage de pâtes, selon la quantité d'eau et le temps de cuisson qu'on lui accorde. Nous la faisons avec des pâtes sans gluten, c'est toujours aussi délicieux ! Mes pâtes sans gluten préférées sont celles de la marque Rummo. Elles se tiennent bien, restent fermes pour la cuisson al dente et ont le goût qui se rapproche le plus des pâtes avec gluten de mes souvenirs... Mais trêve de blabla ! Vous avez été nombreux à me demander la recette, alors la voilà ! 1ère partie d'un triptyque sur l'affirmation de soi au travers de 3 portraits de femmes qui se sont réalisées et sont devenues celle qu'elles voulaient être sans tenir compte du regard d'autrui. On commence avec Benoîte, fondatrice de "A la lanterne sacrée", qui a surmonté bien des traumatismes pour se révéler à elle-même. "Arc-en-ciel de Vie" C'est ainsi que Benoîte a décidé de nommer son activité d'énergéticienne. Et quand on discute avec elle, on comprend aisément pourquoi ce nom est le plus juste qu'elle ait pu trouver. D'abord parce que rencontrer Benoîte, c'est en prendre plein les mirettes de couleurs, de gaieté et de bienveillance. Les cheveux roses lorsque nous nous sommes vues - ils ont changé moult fois de coloris - la robe turquoise ou vert émeraude, les yeux pétillants et le sourire large, tout chez elle respire la joie de vivre et la sérénité. Ensuite, parce que sa vie à elle a été un faisceau de différents chemins, d'expériences, de rencontres qui la portaient tantôt vers le noir total tantôt vers la lumière la plus blanche. Elle a choisi de rester au milieu, là où les couleurs chatoient et éclaboussent de bonheur et de joie. Enfin parce qu'aujourd'hui elle met au service des autres tout le nuancier de ses dons pour leur permettre d'aller mieux, d'aller bien, d'être heureux.
La quarantaine est arrivée pour Benoîte et l'a trouvée sereine, apaisée, complète. Celle qui se définit désormais comme douce, en phase avec elle-même, avec un sentiment de plénitude explique qu'elle était hier une femme brusque et impulsive et qu'elle n'a pas décidé de travailler sur son bonheur, mais que c'est bel et bien la rencontre, la reconnaissance et le travail de ses dons qui l'ont menée à être celle qu'elle est aujourd'hui : une porteuse d'arc-en-ciel. Pourtant, la vie de Benoîte a commencé de manière terrible. Parce que je serai toujours une des voix de l'endométriose, en ce mois de mars 2019 - mois consacré à la sensibilisation de l'endométriose autour du monde - j'ai décidé de reprendre mon foulard et de venir vous donner quelques conseils sur comment mieux vivre avec une endométriose. Ça se passe en vidéo, tous les jours du mois de Mars, sur mon compte Instagram mais comme je suis sympa (mais si ! attends ! tu vas voir !), ça se passe aussi ici dès le lendemain. Endométriose : face aux spécialistes, oser demander.Oui ! Ose poser toutes les questions que tu as à ton médecin. Et ce n'est pas seulement applicable pour les spécialistes, mais aussi pour les généralistes et les auxiliaires médicaux. En fait, c'est la règle pour tous les soignants qui participent à ta prise en charge. Si tu n'arrives pas à le faire, que tu rentres chez toi pas rassurée, ça ne va pas. Recontacte-le, revois-le, prends le temps d'avoir des réponses à tes questions, c'est essentiel ! Et s'il n'y a pas de possibilités d'y arriver alors il faut changer de soignant ! Un soignant quand il est bon doit pouvoir répondre à tes questions où - s'il ne peut pas répondre, ça arrive, personne n'est omniscient - te renvoyer vers un autre soignant qui pourra le faire. Il doit aussi expliquer le traitement qu'il prescrit, pourquoi il préconise une intervention ou telle approche thérapeutique. Nous avons le droit de comprendre ce dans quoi nous nous engageons. Etre serein et confiant, je te rappelle que c'est la moitié du chemin vers la rémission... Donc, on doit être en confiance avec ses thérapeutes. Et d'ailleurs attention : mon médecin chouchou ne sera pas forcément le tien ! On reste sur de l'humain, donc il faut que le feeling passe… Il faut parfois choisir entre technicien pointu ou empathie et douceur, à voir selon tes préférences et ce qui sera le plus rassurant pour toi… Quoiqu'il en soit, on n'abandonne pas, parce que c'est essentiel ! On finit toujours par trouver et ce jour-là, tout change. Demain je donne mon astuce pour optimiser les rendez-vous médicaux... Si ce conseil t'a plu, sache qu'il y en a pleins d'autres dans mon livre "Endométriose : la maladie taboue" !
Je te donne rendez-vous tous les jours du mois de Mars pour parler encore d'endométriose ! Sur ce blog si tu préfères lire (inscrit toi par mail pour ne pas les rater --> ) ou sur Instagram et YouTube si tu préfères les vidéos. A bientôt ! Parce que je serai toujours une des voix de l'endométriose, en ce mois de mars 2019 - mois consacré à la sensibilisation de l'endométriose autour du monde - j'ai décidé de reprendre mon foulard et de venir vous donner quelques conseils sur comment mieux vivre avec une endométriose. Ça se passe en vidéo, tous les jours du mois de Mars, sur mon compte Instagram mais comme je suis sympa (mais si ! attends ! tu vas voir !), ça se passe aussi ici dès le lendemain. Le premier conseil pour faire face à l'endométriose est tout simple : écoute ton corps !Tu le connais par cœur et tu es la seule à le connaître aussi bien. Tu sais quand ça va pas ou quand tu arrives au bout de tes forces. Une grosse crise de douleurs d'endométriose, une période plus difficile, un nouveau traitement hormonal, une fatigue plus dense que d'habitude ? Allez zou, au repos. Dès que tu peux, arrêtes ce que tu fais et permets à ton corps de vivre ce moment aussi sereinement et calmement que possible. Ainsi il pourra s'épargner et concentrer ses forces sur la difficulté que tu es en train de vivre. Et ça, il en a bien besoin ! Donc écoute-le et épargne-le. Bien sûr, il faut savoir repousser ses limites ! C'est essentiel et nous en parlerons bientôt. Mais justement, toi tu sais quand tu peux te le permettre et quand il ne faut surtout pas. Donc écoute toi ! Si ce conseil t'a plu, sache qu'il y en a pleins d'autres dans mon livre "Endométriose : la maladie taboue" !
Je te donne rendez-vous tous les jours du mois de Mars pour parler encore d'endométriose ! Sur ce blog si tu préfères lire ou sur Instagram et YouTube si tu préfères les vidéos. A bientôt ! Voilà un petit moment que ça me titillait, mais là, ça y est ! Je saute le pas et je change de plateforme pour mon blog. J'avais envie de quelque chose de plus simple visuellement et de plus complet techniquement. Je suis ravie ! Ainsi me voilà chez moi, vraiment... Alors soyez les bienvenus chez moi... J'espère que ce nouveau format vous plaira. J'ai travaillé longtemps pour y arriver !
J'espère aussi que vous serez nombreuses et nombreux à venir le voir, à le commenter et à le partager. C'est le seul réel moyen de faire vivre un blog... A très vite ! |
Après Lilli H. et Alter Endo, retour aux sources
sur mon blog originel ! Articles récents Pas de panique ! C'est une formule barbare qui vous demande juste de confirmer que vous acceptez de recevoir de mes nouvelles par mail. Je ne revends ni n'exploite aucunement vos coordonnées. C'est juste entre vous et moi... Archives
Mars 2019
Catégories
Tout
@marieannemormina
|